samedi 16 novembre 2013

Pour vous qui souhaitez envoyer l’energie de guerison : devenir canal, c'est etre transparence et joie

Voici ci-apres une precision enrichissante qui interesse nombre de formes d’envoi d’energie, que ce soit vers un etre ou vers la planete (par la boule d’amour, les differents rayons, ilahinoor, le reiki,..). Personnellement, apres m'etre imbibee de ce texte, j'ai pu experimenter encore une difference dans l'energie envoyee par mes mains. Il nous est propose de laisser toute volonte sinon celle de servir, et d'etre simplement joie, transparence, pur canal de lumiere...

Par Anne Givaudan :
” L’un  des  aspects  de  notre  pratique  passe  par  notre  capacité  à
recevoir et à retransmettre les énergies de soins qui nous traversent. Les Etres de lumière qui ont toujours présidé à notre “travail” nous
ont offert le message suivant qu’à mon tour je propose à votre âme :

« Le prâna est véritablement  le fluide  universel dans  lequel vous
baignez  tous. Il est l ’agent premier de  la  guérison  ou  du  moins  son
support  dans  le  monde  dans  lequel  vous  vivez.  Lorsque  nous  vous
disons  “prâna”, frères et sœurs,  entrevoyez avant tout  “grains de vie”.
Parce que lorsque vous les absorbez par tous vos pores, par votre respi­
ration et aussi par les différents plexus de votre corps,  lorsqu’ils sont
tous unis,  ces grains de vie,  qui sont l ’essence même de ce prâna,  de­
viennent comparables  à  une  sorte  de  tissu  dont  les  mailles  seraient
les formes-pensées issues de ce que vous appelez en termes humains
la  Divinité  ou  le  Créateur.  Ce  sont  des formes-pensées,  comprenez
bien  cela,  c ’est-à-dire  qui  sont  issues  à  chaque  instant  de  cet  Etre
incommensurable qui est Amour et que vous appelez Dieu
.
« Rendez-vous compte de ce que cela signifie exactement,  et de ce
que  cela  signifie  à  chaque  instant  où  votre  cœur  bat,  à  chaque
instant où  votre  sang  se  charge d ’oxygène. Le fait que  ces grains de
vie soient une partie de  la pensée  divine signifie  que chacun  de  ces
grains  de  vie  est  un  être  à part entière
,  un  être  qui  sait exactement
quelle est sa route,  quelle est sa destination,  qui a simplement besoin
qu’on le laisse agir comme il sait qu’il doit agir.

« Nous voulions opérer une petite différence entre le prâna et cette
capacité d ’énergie  qui jaillit au  bout de  vos mains,  au  creux de  vos
paumes
.  Ce  n ’est pas  véritablement du prâna  que  vous diffusez par
les soins,  du moins le prâna bien sûr en représente-t-il l ’essence même
par les  grains  de  vie  dont  il a  été question,  mais  ce prâna,  vous  le transmutez,  vous  le dynamisez  en  le  colorant à  votre façon,  et vous
le colorez par la dose d ’amour que vous avez enclose dans votre cœur,
vous  le  colorez par l ’ouverture  de  votre  conscience  et votre  volonté
de servir.
« Cette volonté de servir,  nous le répéterons toujours,  n ’est pas une
volonté de  servir personnelle.  Cette  coloration,  qui  est spécifique à
chacun d ’entre vous,  est d ’autant plus forte,  d ’autant plus pure qu’elle
demande  une plus  grande  transparence  de  votre part.  Elle  signifie
tout simplement un oubli de votre petite personnalité,  une mise à dis­
ponibilité totale de votre petite personnalité.

«  Trop souvent vous réduisez cette force d ’amour en laissant entrer
en  vous  le  doute.  Vous  vous connectez à  votre être  inférieur,  à  votre
ego qui vous fait dire :  “Est-ce que je fais bien  ?  Est-ce que je  place
bien les mains  ?  Suis-je capable d ’aimer ?  Suis-je assez pur ?”
« L ’élément dynamisant du prâna s ’appelle aussi joie,  conscience
de fusion  dans  la joie  universelle  et omniprésente.
L ’amour,  le  soin
que  vous  donnez  n ’est  que  de  la joie  à  l ’état pur,  à  l ’état  brut,  à
l ’état cristallin.  Sinon  vous ne dispensez pas  un soin mais  une sorte
de cataplasme qui ne sait pas trop où se diriger. Bien faire,  dans votre
cas,  n 'est pas  suffisant,  vous  devez faire  le plus,  le mieux ou plutôt
laisser faire : c ’est-à-dire abdiquer devant votre petit vouloir.  »
Extrait Lecture d’auras et soins esseniens (p. 137, 138), Anne Meurois-Givaudan

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