Tel le peuple des arbres, des liens unissent toutes les vies humaines “pour n’en faire qu’une seule aux différents épisodes.” Lorsqu’on pense aux evenements actuels se deroulant aux Philipines …
“Chaque humain est relié à tous les autres
humains mais il ne le sait pas, il ne le sent plus. Ses
sens atrophiés, endormis, ne lui permettent plus de
se sentir uni à l’humanité entière. Pourtant, lors
qu’un être souffre sur la Terre ou ailleurs, les corps
subtils de chacun, individuellement, en reçoivent
et en perçoivent le choc. Aucun instant de joie,
aucune onde de peine ne se perd. Ils se répercutent
d’une façon si subtile que les corps en gardent la
mémoire jusque dans les plus infimes particules.
L’humain est habité en permanence par les
joies et les peines, les réussites et les échecs de tous
les habitants de la Terre. L’oubli n’en réduit pas les
effets et plus l’être humain retrouvera les capacités
de sentir, de percevoir cela et plus il retrouvera la
route de la conscience en éveil, celle qui conduit au
bonheur véritable.”
Extrait de Walk-in, La femme qui changea de corps (p. 96), par Anne Givaudan.
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