jeudi 25 octobre 2012

A la découverte des lions blancs

Kiara Windrider, bientôt en France en novembre pres de Toulouse (voir l’onglet Conférences) partageait son émerveillement d'avoir rencontré les lions blancs d’Afrique… ces lions qu’on dit conscients de leur divinité.
Ils ont fait l’objet d’un livre de la part de la spécialiste - et passionnée - Linda Tucker, “Mystery of the White Lions”.

La page web ci-après en raconte un bout d’histoire, par John Lash : Liberterre.fr/metahistoire/mysticisme-shamanisme/lions-blancs.html. Extrait :
(Selon) Credo Mutwa (célèbre shaman Zulu) :
“La Terre Mère demanda au Lion Exilé, Imbudebingile, d’envoyer sur Terre les grands carnivore - les lions, les léopards et les chats sauvages - afin de protéger l’humanité des entités négatives. L’homme était trop effrayé pour vivre avec les lions et il choisit donc le chat sauvage pour l'apprivoiser et pour l’accompagner à la maison” (page 212). 
Le “Lion Exilé”, dans cette légende, est la constellation du Lion. Le shamanisme Africain est empreint de connaissances astronomiques corrélant diverses espèces animales à différentes zones du Zodiaque, mais la composition Léonine d’étoiles est la plus importante. “On nous dit que les lions vinrent de la constellation du Lion” dit le shaman à Linda Tucker. Au travers de tout son ouvrage, elle entrelace le motif stellaire avec les autres éléments de son argumentation.
La connaissance étoilée des lions blancs est étroitement corrélée avec Orion, le Chasseur, connu sous le nom de Matseing chez les Bochiman. Dans le mythe Grec, Orion fut condamné par Artémis, la déesse qui protégeait la vie animale non-humaine sur Terre, pour avoir excédé son quota de chasse. Tucker ne relate pas cette anecdote mythique mais elle résonne magnifiquement avec sa thèse quant à la consommation illimitée de la nature par l’humanité en raison de la rupture du contrat prédateur/proie. La leçon est ici la suivante: sans révérence vis à vis de la connexion inter-spécifique, notre espèce ne peut pas en rester à ses propres limites dans le monde naturel.”
Pour consulter le livre en anglais, c’est ici : Books.google.fr
Aperçu ci-dessous (faire defiler la barre à droite)

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