Ce serait toujours les mêmes idées qui reviendraient sans cesse dans le courant de la journée, voire de la nuit.
Voilà à ce sujet l'enseignement d'Osho (cela ressemble fort d’ailleurs au traitement par le Dalai Lama de sa colère, comme écrit précédemment).
INTÉRIORITÉ
Commentaire :
La femme sur cette image a un sourire presque imperceptible sur son visage. En fait, elle observe les cabrioles du mental – sans jugement, sans chercher à les arrêter, sans être identifiée, observant simplement comme s'il s'agissait du trafic sur la route ou d'une ondulation à la surface d'un étang.
Et les cabrioles du mental sont même quelque peu amusantes ; leur façon de sauter d'une chose à l'autre, de se contorsionner comme ceci ou cela pour obtenir votre attention et vous séduire dans leur jeu.
Développer l'habilité à prendre une distance par rapport au mental est une des plus grandes bénédictions. C'est en fait ce qu'est véritablement la méditation ; ce n'est pas psalmodier un mantra ni répéter une affirmation, mais simplement observer, comme si le mental appartenait à quelqu'un d'autre. Vous êtes maintenant prêt à prendre ce recul et à observer la scène sans vous laisser prendre par le drame.
Accordez-vous cette simple liberté de regarder en vous-même chaque fois que vous le pouvez et l'art de la méditation croîtra et s'approfondira en vous.
http://www.osho.com (Le Tarot Zen Osho)
Se tourner vers l'intérieur n'est pas une rotation du tout. Aller vers l'intérieur ce n'est pas aller quelque part.
Se tourner vers l'intérieur signifie simplement que vous avez poursuivi ce désir et celui là et vous avez couru et couru encore, que vous vous êtes heurté encore et encore à la frustration. Que chaque désir apporte la misère, qu’il n’y a aucun accomplissement par le désir. Que vous n'arrivez nulle part, que le contentement soit impossible.
Voyant cette vérité, que courir après les désirs ne vous mène nulle part, vous vous arrêtez. Non que vous fassiez un quelconque effort pour vous arrêter. Si vous faites un effort quelconque pour vous arrêter c’est de nouveau cou-rir, d'une manière subtile. Vous désirez toujours - peut-être est-ce maintenant l’état sans désir que vous désirez. Si vous faites un effort pour aller vers l’intérieur, vous allez toujours vers l’extérieur. Quelque soit l'effort, il ne peut vous amener que vers l'extérieur.
Tous les voyages sont des voyages extérieurs, il n’y a aucun voyage intérieur. Comment pouvez-vous voyager vers l'intérieur ? Vous y êtes déjà, il n’y a aucun besoin d'y aller. Lorsque aller s’arrête, voyager disparaît ; lors-que le fait de désirer n’opacifie plus votre mental, vous êtes à l’intérieur. Ce-ci s'appelle se tourner vers l'intérieur. Mais ce n'est pas une rotation du tout, c’est simplement ne pas sortir.
Osho This Very Body The Buddha Chapter 9
INTÉRIORITÉ
Commentaire :
La femme sur cette image a un sourire presque imperceptible sur son visage. En fait, elle observe les cabrioles du mental – sans jugement, sans chercher à les arrêter, sans être identifiée, observant simplement comme s'il s'agissait du trafic sur la route ou d'une ondulation à la surface d'un étang.
Et les cabrioles du mental sont même quelque peu amusantes ; leur façon de sauter d'une chose à l'autre, de se contorsionner comme ceci ou cela pour obtenir votre attention et vous séduire dans leur jeu.
Développer l'habilité à prendre une distance par rapport au mental est une des plus grandes bénédictions. C'est en fait ce qu'est véritablement la méditation ; ce n'est pas psalmodier un mantra ni répéter une affirmation, mais simplement observer, comme si le mental appartenait à quelqu'un d'autre. Vous êtes maintenant prêt à prendre ce recul et à observer la scène sans vous laisser prendre par le drame.
Accordez-vous cette simple liberté de regarder en vous-même chaque fois que vous le pouvez et l'art de la méditation croîtra et s'approfondira en vous.
http://www.osho.com (Le Tarot Zen Osho)
Se tourner vers l'intérieur n'est pas une rotation du tout. Aller vers l'intérieur ce n'est pas aller quelque part.
Se tourner vers l'intérieur signifie simplement que vous avez poursuivi ce désir et celui là et vous avez couru et couru encore, que vous vous êtes heurté encore et encore à la frustration. Que chaque désir apporte la misère, qu’il n’y a aucun accomplissement par le désir. Que vous n'arrivez nulle part, que le contentement soit impossible.
Voyant cette vérité, que courir après les désirs ne vous mène nulle part, vous vous arrêtez. Non que vous fassiez un quelconque effort pour vous arrêter. Si vous faites un effort quelconque pour vous arrêter c’est de nouveau cou-rir, d'une manière subtile. Vous désirez toujours - peut-être est-ce maintenant l’état sans désir que vous désirez. Si vous faites un effort pour aller vers l’intérieur, vous allez toujours vers l’extérieur. Quelque soit l'effort, il ne peut vous amener que vers l'extérieur.
Tous les voyages sont des voyages extérieurs, il n’y a aucun voyage intérieur. Comment pouvez-vous voyager vers l'intérieur ? Vous y êtes déjà, il n’y a aucun besoin d'y aller. Lorsque aller s’arrête, voyager disparaît ; lors-que le fait de désirer n’opacifie plus votre mental, vous êtes à l’intérieur. Ce-ci s'appelle se tourner vers l'intérieur. Mais ce n'est pas une rotation du tout, c’est simplement ne pas sortir.
Osho This Very Body The Buddha Chapter 9
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